Celle-ci s'est présentée au soir du 23 février, alors que je me préparais au sommeil. J'ai immédiatement dégagé les deux premiers termes, et le troisième, et donc le tout, ne venait pas. Plutôt que de le mentaliser, de devenir fou et obstiné, je me suis endormi.
Aujourd'hui, déjeunant avec Mme VJ, je lui pose à brûle-pourpoint (elle en porte encore dans l'intimité) : mon premier, mon deuxième, en lui cédant facilement les réponses, et là, bingo : elle me fournit un tout auquel je n'avais pas songé, qui s'emboîte à merveille, dont je n'ai plus qu'à peaufiner la définition du troisième, pour que ce soit un véritable objet d'art.
Excusez ou non cette dernière phrase qui peut sembler immodeste, mais :
1) je n'invente rien, ça dégringole, je suis juste à la réception, donc aucun motif d'en tirer une quelconque gloire ;
2) cette fois-ci, on est deux à la réception ;
3) je crois qu'on est en train d'inventer un art nouveau (et je vous invite à me donner des exemples du contraire, ce serait génial) : la charade transpersonnelle.
Fin du discours, place à l'objet :
Mon premier contient le Tout.
Mon second emplit le coeur.
On vise au coeur de ma troisième.
Et justement, mon tout le manque.
Simple pour celui qui en accouche, c'est difficile pour qui en cherche la porte.
Je suis prêt à vous donner des indices, si besoin. Rien ne presse. C'est le voyage qui vaut la peine et porte du fruit.
Pour info, une première, Helios ayant aimablement accepté de m'ouvrir ses colonnes, ce soir on roule en tandem avec le Bistro Bar Blog.
Allo, Simone, ici c'est Guy Lusque, vous m'entendez ?
Bon, je vous laisse chercher, moi j'ai mes filles et petite fille chéries. Je repasserai de temps en temps.