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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 18:56
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commentaires

L
<br /> :)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://nine297.unblog.fr/2007/07/05/sur-la-balancoire/<br />
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N
<br /> Moi non plus je ne connaissais pas auparavant cette version que nous a présenté Colette Renard et V.J.<br /> <br /> <br /> La comptine de notre enfance est bien celle des bonbons  OUF !<br /> <br /> <br /> Bon dimanche<br />
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V
<br /> <br /> OUF QUE, disait ma fille Marie quand elle était petite. Ca donnait : Ouf que c'est pas les vraies paroles !<br /> <br /> <br /> ;)<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> C'est bizarre, Ned, il n'y a pas dans les paroles, le seul couplet que je connaisse :<br /> <br /> "Ah! vous dirai-je, Maman,<br /> Ce qui cause mon tourment ?<br /> Papa veut que je raisonne<br /> Comme une grande personne<br /> Moi je sais que les bonbons<br /> Valent mieux que la raison."<br /> <br /> <br /> Moi non plus, je ne reste pas. LLéa a raison. M'en vais jouer à la balançoire avec elle et regarder les belles photos de Katherine et de son chat (merci, LLéa, elles sont très belles. ^^)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bon dimanche. ♪ ♫ ♪♪<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> ♥<br />
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V
<br /> <br /> C'est une version un peu hard, c'est vrai :)<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> :)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je reste pas, c'est pour adultes. Merci Mr Ned. :) Merci a tout deux.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.buzzly.fr/une-serie-de-photographies-raconte-l-amitie-d-une-petite-fille-et-de-son-chat.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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V
<br /> <br /> Super photos, merci Lléa<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> http://www.jepoeme.com/forum/paroles/Ah_vous_dirais_je_maman_paroles_de_la_chanson_pour/222209/1.html<br /> <br /> <br /> <br /> Paroles de la chanson pour adultes :<br /> <br /> Ah ! Vous dirais-je Maman<br /> (Colette Renard à Montmarte environ 1955)<br /> <br /> Ah! Vous dirais-je Maman<br /> A quoi nous passons le temps<br /> Avec mon cousin Eugène<br /> Sachez que ce phénomène<br /> Nous a inventé un jeu<br /> Auquel nous jouons tous les deux<br /> <br /> Il m'emmène dans le bois<br /> Et me dit: "Déshabille-toi!"<br /> Quand je suis nue tout entière<br /> Il me fait coucher par terre<br /> Et de peur que je n'aie froid<br /> Il vient se coucher sur moi<br /> <br /> Puis il me dit d'un ton doux:<br /> "Écarte bien tes genoux"<br /> Et la chose vous fera vous rire<br /> Il embrasse ma tirelire<br /> Oh! vous conviendrez, Maman,<br /> Qu'il a des idées vraiment.<br /> <br /> Puis il sort, je ne sais d'où,<br /> Un p'tit animal très doux<br /> Une espèce de rat sans pattes<br /> Qu'il me donne et que je flatte<br /> Oh! Le joli petit rat<br /> D'ailleurs il vous le montrera.<br /> <br /> Et c'est juste à ce moment<br /> Que le jeu commence vraiment<br /> Eugène prend sa petite bête<br /> Et la fourre dans une cachette<br /> Qu'il a trouvée, le farceur,<br /> Où vous situez mon honneur<br /> <br /> <br /> Mais ce petit rat curieux<br /> Très souvent devient furieux<br /> Voilà qu'il sort et qu'il rentre<br /> Et qu'il me court dans le ventre<br /> Mon cousin a bien du mal<br /> A calmer son animal.<br /> <br /> Complètement essoufflé<br /> Il essaye de l'rattraper<br /> Moi je rie à perdre haleine<br /> Devant les efforts d'Eugène<br /> Si vous étiez là Maman<br /> Vous ririez pareillement.<br /> <br /> <br /> Au bout de quelques instants<br /> Le p'tit rat sort en pleurant<br /> Alors Eugène qui tremblote<br /> Le met dans sa redingote<br /> Et puis tous deux nous rentrons<br /> Sagement à la maison.<br /> <br /> <br /> Mon cousin est merveilleux<br /> Il connaît des tas de jeux<br /> Demain soir sur la carpette<br /> Il doit m'apprendre la levrette<br /> Si vraiment c'est amusant<br /> J'vous l'apprendrai en rentrant<br /> <br /> <br /> Voici ma chère Maman<br /> Comment je passe mon temps<br /> Vous voyez je suis très sage<br /> Je fuis tous les bavardages<br /> Et j'écoute vos leçons<br /> Je ne parle pas aux garçons.<br /> <br /> Poeme publié 07 Fev 2010 à 11:45<br />
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V
<br /> <br /> La maman a du être très contente du cousin Eugène, c'est sûr !<br /> <br /> <br /> <br />

Présentation

  • : Le jardin de Vieux Jade
  • : Arrivages du jour, légumes secs, mauvaises herbes, quelques trucs qui arrachent la gueule. Taupes, censeurs et culs bénits s'abstenir. Si vous cherchez des certitudes, c'est pas l'endroit.
  • Contact

Décidément rétif à l'ordre bestial, j'ai fixé ma résidence ailleurs, d'où j'observe le déroulement des temps infernaux, fumier des plus belles fleurs.  J'ai un jardin secret, où les plantes poussent toutes seules. Servez-vous, si le coeur vous en dit, sans tenir compte de la chronologie, car comme le mot le dit clairement, l'heure est un leurre.

 

Une précision concernant les commentaires : n'ayant pas toujours le temps ni l'énergie de répondre aux commentaires, ceux-ci restent ouverts, sans aucune garantie que j'y réponde. Je me réserve cependant le droit de sabrer les inconvenances, dont je reste seul juge.

 

Ici, je n'est pas un autre.

Recherche

Lave

Après l’explosion

Nul ne l’a sue

Le jour d’après

Coule la lave

Brûlent les cendres

Lave la lave

Mange la louve

Larmes sans sel

De régime

Cuit et recuit 

Frottent les cendres

Récurent

 

Pas encore nu,

Pas tout à fait ?

Restent des choses

Bien accrochées

Des salissures

De vieux fantômes

D’anciennes guerres

 

Qui peut le faire, si ce n'est toi ? 

 

Nettoie

 

Les notes glissent

Comme des larmes

Gouttes de feu

Sur la paroi

 

Qui m’a volé le cœur ?

Qui m’a trempé vivant,

Comme une lame ?

Qui m’a fouetté les yeux,

M’a déchiré le ventre

Me baisant les paupières

Et m’enduisant de baume,

Me prenant par la main,

Pour me conduire

Dehors ?

Les dits de Lao Yu

LE BUT DE LA QUÊTE EST DE N'AVOIR

NI BUT, NI QUÊTE

 

***

 

QUE SAIT-IL DE LA PESANTEUR,

CELUI QUI N'EST JAMAIS TOMBÉ ?

 

***

 

C'EST SOUVENT LORSQU'ELLE S'ENFUIT QU'ON PERÇOIT L'ESSENCE DE LA BEAUTÉ

 

***

 

LA MER A DES MILLIARDS DE VAGUES QUI BATTENT TOUS LES RIVAGES. OU EST LE CENTRE DE LA MER ?

 

***

 

CE QUI EST MORT N'A AUCUN POUVOIR SUR CE QUI EST VIVANT

SEULS LES MORTS CRAIGNENT LES MORTS

 

***

 

QUAND LE NID BRÛLE, LES OISEAUX S’ENVOLENT

 

***

 

C’EST DANS LA CHUTE QUE LES AILES POUSSENT

 

***

 

CE QUI PEUT ÊTRE PERDU EST SANS VALEUR

 

***

 

LA MAISON EST PLUS GRANDE QUE LA PORTE

 

***

 

L’ERREUR EST LA VOIE

 

***

 

LA ROUTE EST DURE A CELUI QUI BOÎTE

 

***

 

LA LUMIERE DE L’ETOILE EST DANS L’ŒIL QUI LA REGARDE

 

***

 

LES PETITS NOURRISSENT LES GRANDS

 

***

 

LES RICHES ONT UNE BOUCHE
MAIS PAS DE MAINS POUR LA REMPLIR

C’EST POURQUOI IL LEUR FAUT
DE NOMBREUX SERVITEURS ;


CEUX QUI ONT DE NOMBREUX SERVITEURS
NE SAURAIENT VIVRE SEULS,

CE SONT DONC DES PAUVRES ;


CELUI QUI PEUT VIVRE SANS SERVITEURS 
EST DONC LE VERITABLE RICHE.

 

***

 

VIVRE C’EST REVENIR SUR SES PAS

 

***

 

LA NUIT LAVE LE LINGE DU SOLEIL

 

***

 

LES RUISSEAUX EMPORTENT LES MONTAGNES

 

***

 

UNE EPINE DANS LE PIED DU GENERAL : L’ARMEE S’ARRÊTE


***
 


UN PORC EN HABITS DE SOIE RESTE UN PORC,
COMME UN DIAMANT DANS LE FUMIER

RESTE UN DIAMANT.

MAIS LA PLACE D’ UN DIAMANT

EST DANS UN ECRIN DE SOIE,

ET CELLE D’UN PORC DANS LE FUMIER.

 

***

 

COMME SEULE L’EAU ETANCHE LA SOIF,
SEULE LA JUSTICE COMBLE LA FAIM DE JUSTICE

 

***

 

DU COLIBRI A L’AIGLE, IL EXISTE DE NOMBREUX OISEAUX

 

***

 

LE DEDANS REGLE LE DEHORS

 

***

 

L’EPONGE BOIT LE VIN RENVERSÉ
ET LA ROSÉE DU MATIN

 

 

***  

 

LORSQU'IL DECOUVRE LE MIEL,

L'OURS OUBLIE LA PIQÛRE DES ABEILLES

 

 

 

 

 

 

 

 

Lisez-Moi Lisez Moi Lisez Moi

Des mots des mots des mots des

Quand à un livre je me livre , ce que je lis me délie.

 

 

Je me demande pourquoi on n'a pas encore une loi qui oblige à faire bouillir les bébés à la naissance, afin qu'ils soient parfaitement stérilisés.

 

Circuler, pour mieux s'ôter.

Toute notre vie, on attend une grande cause pour se lever, et on passe sa vie accroupi, à croupir.

Le lucane aime prendre l'R le soir à sa lucarne.

Ce qu’il y a de bien dans l’état de siège, c’est qu’on prend le temps de s’asseoir.

 

 

Les oiseaux sont les poissons du ciel,

nous en sommes les crabes


Heureux les déjantés, ils quitteront plus facilement la route commune!

 
L’argent n’a pas d’odeur, mais il y contribue.


Un vrai sosie, c’est invraisemblable.

   

Quand je grossis, je m’aigris ; et quand je m’aigris, je grossis.

   

Le temps, c’est de l’urgent.

   

Joindre l’utile au désagréable : se faire renverser par une ambulance.  

 

Le journal du paradis, c’est le Daily Cieux.

   

Yfaut et Yaka sont dans un bateau ; Yfaut tombe à l’eau, Yaka l’repêcher.

 

Chaque matin, s’ils ne sont pas morts, les vieux vont aux nouvelles.

 

Le poète a latitude d’explorer toutes les longitudes.

   

Etre réduit à la portion congrue, c’est fort peu. Moins, c’est incongru.

 

Peut-on dire de quelqu’un
dont la vie dépend des autres pour tout qu’il
est riche ?
La bouche est elle riche ?

Peut-on dire de quelqu’un
qui n’a rien à attendre des autres qu’il est pauvre ?
Les mains sont elles pauvres ?

 

Curieux comme mystique s’oppose à mastoc.

 

On a mis bien des ouvrages majeurs à l’index.

 

Quand le brouillard tombe, on voudrait qu’il se casse.

 

Au matin, la nuit tombe de sommeil.