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18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 16:33

1er-mai-2010-049.jpg

 

Voici deux petits récits d'événements récents.

  

Le premier commence le 9 novembre à 17 h 17; remontant dans ma voiture je vis avoir roulé pour me rendre en ce lieu 22.2 km. Comme j’étais chez Mme X. dans sa cour, et qu’on en sort lentement par un petit chemin glissant, le 222 et 17:17 restèrent un certain temps sous mes yeux. Étaient donc soulignés : 2 X 111 et 2 X 17.

 

Je porte une attention particulière à ces deux chiffres.

 

111 parce qu’il est l’image de l’alignement des 3 centres, se lit As As Un, « les veilleurs » en arabe, qu’il rappelle la destruction des trois royaumes (Tripurari) dans les puranas, lorsque les trois mondes d'or, d'argent et de fer étaient (sont) alignés.

 

Les trois mondes unis, comme les parchemins du mât central des Licornes du capitaine Haddock, ouvrent la porte de la destruction des apparences.

 

Il importe de ne pas confondre 11, signe de concurrence et de dualité et 111. Onze a quand même une autre fonction : indiquer que le déroulement des événements est conforme au scénario. Mais on est encore en phase de dissociation. Entré dans le palais, on longe les murs pour ne pas se perdre. Onze, ou la répétition d'événements - synchronicités - sont des flèches, des balises sur la route. Rien de plus. Mais combien précieux, après l'errance.

 

17 parce que développé (17+16+15…etc.), il donne 153.

153 est le nombre de poissons de la « pêche miraculeuse » des évangiles. De gros poissons. Retirés du ventre de la matrice.

 

Or, cette nuit du 10 au 11, donc le 11.11, je me suis éveillé, et j’ai regardé l’heure : 1 h 53.

 

Restons dans l'inhabituel : le samedi 6 novembre matin, je faisais la grasse matinée, alors que Mme VJ faisait du Qi gong dans le dojo. A un moment donné, le téléphone a fait le bip caractéristique qu’il fait lors d’une brève coupure électrique, avant de redémarrer. Enfin, le contraire : il bipe lorsqu'il reçoit à nouveau de l'énergie. 

 

 Quand elle est redescendue, elle m’a raconté qu’elle faisait un exercice de nettoyage du passé, par tranches de 10 ans. Et lorsqu’elle a terminé la dernière tranche, celle de 10 à 0, juste à ce moment là, le compteur s’est arrêté une microseconde avant de repartir.

 

Le récit de ces faits n'a la prétention de convaincre quiconque de quoi que ce soit, sauf de ceci : bien des choses nous échappent. Le monde est une profonde énigme, dont aucune lecture superficielle ne viendra à bout.

 

 

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commentaires

N
<br /> Bonsoir Vieux Jade! Bonsoir Léa!<br /> <br /> Cela fait une heure que j'éppluche la page google sur 153.<br /> <br /> Heu...j'ai pas de mots... c'est....<br /> <br /> Merci Vieux Jade! Chapeau!<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Comment vous avez deviné ? 153, la taille de mon chapeau. Chapeau. Mais c'est un peu de votre faute, vous me donnez la grosse tête. :)<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Jade ,Bonsoir,<br /> <br /> <br /> Pardon !<br /> <br /> Pas l'extérieur , l'intérieur !<br /> <br /> <br /> Je t'embrasse , Léa .<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Même l'intérieur. J'ai besoin de voir les gens, de les voir vivre, bouger, etc. pour connaître leur être. Par un écran, ça passe moi,ns. Je réagis à un propos, mais je n'ai pas le contexte, le<br /> regard, le sourire.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Jade,bonjour et merci,<br /> <br /> <br /> Parfois je me demande comment tu me perçois !<br /> <br /> <br /> "Laisse toi couler dans l'énigme."<br /> <br /> <br /> Jade rassure moi, pas comme un vieux camenbert ? :)<br /> <br /> <br /> Bordel ! :)<br /> <br /> <br /> Bien a toi, Léa.<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Comment ? Je ne me pose pas la question. Je n'essaie pas d'imaginer mes correspondants virtuels.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Bonsoir,<br /> <br /> <br /> Merci Jade.<br /> <br /> "Le monde est une profonde énigme, dont aucune lecture superficielle ne viendra à bout."<br /> <br /> L'énigme. Une lecture superficielle n'en viendra pas a bout.<br /> <br /> Une lecture profonde, alors?<br /> <br /> Non plus! Une lecture profonde mènera vers plusieurs chemins, qu'il faudra minutieusement décortiquer un a un pour tenter de découvrir la clé de l'énigme. Et tout ces chemins ne nous assure<br /> d'aucune véracité finale!<br /> <br /> Le seul chemin véritable est celui du coeur! Rien de mauvais ne peut en sortir!<br /> <br /> <br /> Gros bisous, léa.<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Laisse toi couler dans l'énigme, et le sens vient.<br /> <br /> <br /> <br />

Présentation

  • : Le jardin de Vieux Jade
  • : Arrivages du jour, légumes secs, mauvaises herbes, quelques trucs qui arrachent la gueule. Taupes, censeurs et culs bénits s'abstenir. Si vous cherchez des certitudes, c'est pas l'endroit.
  • Contact

Décidément rétif à l'ordre bestial, j'ai fixé ma résidence ailleurs, d'où j'observe le déroulement des temps infernaux, fumier des plus belles fleurs.  J'ai un jardin secret, où les plantes poussent toutes seules. Servez-vous, si le coeur vous en dit, sans tenir compte de la chronologie, car comme le mot le dit clairement, l'heure est un leurre.

 

Une précision concernant les commentaires : n'ayant pas toujours le temps ni l'énergie de répondre aux commentaires, ceux-ci restent ouverts, sans aucune garantie que j'y réponde. Je me réserve cependant le droit de sabrer les inconvenances, dont je reste seul juge.

 

Ici, je n'est pas un autre.

Recherche

Lave

Après l’explosion

Nul ne l’a sue

Le jour d’après

Coule la lave

Brûlent les cendres

Lave la lave

Mange la louve

Larmes sans sel

De régime

Cuit et recuit 

Frottent les cendres

Récurent

 

Pas encore nu,

Pas tout à fait ?

Restent des choses

Bien accrochées

Des salissures

De vieux fantômes

D’anciennes guerres

 

Qui peut le faire, si ce n'est toi ? 

 

Nettoie

 

Les notes glissent

Comme des larmes

Gouttes de feu

Sur la paroi

 

Qui m’a volé le cœur ?

Qui m’a trempé vivant,

Comme une lame ?

Qui m’a fouetté les yeux,

M’a déchiré le ventre

Me baisant les paupières

Et m’enduisant de baume,

Me prenant par la main,

Pour me conduire

Dehors ?

Les dits de Lao Yu

LE BUT DE LA QUÊTE EST DE N'AVOIR

NI BUT, NI QUÊTE

 

***

 

QUE SAIT-IL DE LA PESANTEUR,

CELUI QUI N'EST JAMAIS TOMBÉ ?

 

***

 

C'EST SOUVENT LORSQU'ELLE S'ENFUIT QU'ON PERÇOIT L'ESSENCE DE LA BEAUTÉ

 

***

 

LA MER A DES MILLIARDS DE VAGUES QUI BATTENT TOUS LES RIVAGES. OU EST LE CENTRE DE LA MER ?

 

***

 

CE QUI EST MORT N'A AUCUN POUVOIR SUR CE QUI EST VIVANT

SEULS LES MORTS CRAIGNENT LES MORTS

 

***

 

QUAND LE NID BRÛLE, LES OISEAUX S’ENVOLENT

 

***

 

C’EST DANS LA CHUTE QUE LES AILES POUSSENT

 

***

 

CE QUI PEUT ÊTRE PERDU EST SANS VALEUR

 

***

 

LA MAISON EST PLUS GRANDE QUE LA PORTE

 

***

 

L’ERREUR EST LA VOIE

 

***

 

LA ROUTE EST DURE A CELUI QUI BOÎTE

 

***

 

LA LUMIERE DE L’ETOILE EST DANS L’ŒIL QUI LA REGARDE

 

***

 

LES PETITS NOURRISSENT LES GRANDS

 

***

 

LES RICHES ONT UNE BOUCHE
MAIS PAS DE MAINS POUR LA REMPLIR

C’EST POURQUOI IL LEUR FAUT
DE NOMBREUX SERVITEURS ;


CEUX QUI ONT DE NOMBREUX SERVITEURS
NE SAURAIENT VIVRE SEULS,

CE SONT DONC DES PAUVRES ;


CELUI QUI PEUT VIVRE SANS SERVITEURS 
EST DONC LE VERITABLE RICHE.

 

***

 

VIVRE C’EST REVENIR SUR SES PAS

 

***

 

LA NUIT LAVE LE LINGE DU SOLEIL

 

***

 

LES RUISSEAUX EMPORTENT LES MONTAGNES

 

***

 

UNE EPINE DANS LE PIED DU GENERAL : L’ARMEE S’ARRÊTE


***
 


UN PORC EN HABITS DE SOIE RESTE UN PORC,
COMME UN DIAMANT DANS LE FUMIER

RESTE UN DIAMANT.

MAIS LA PLACE D’ UN DIAMANT

EST DANS UN ECRIN DE SOIE,

ET CELLE D’UN PORC DANS LE FUMIER.

 

***

 

COMME SEULE L’EAU ETANCHE LA SOIF,
SEULE LA JUSTICE COMBLE LA FAIM DE JUSTICE

 

***

 

DU COLIBRI A L’AIGLE, IL EXISTE DE NOMBREUX OISEAUX

 

***

 

LE DEDANS REGLE LE DEHORS

 

***

 

L’EPONGE BOIT LE VIN RENVERSÉ
ET LA ROSÉE DU MATIN

 

 

***  

 

LORSQU'IL DECOUVRE LE MIEL,

L'OURS OUBLIE LA PIQÛRE DES ABEILLES

 

 

 

 

 

 

 

 

Lisez-Moi Lisez Moi Lisez Moi

Des mots des mots des mots des

Quand à un livre je me livre , ce que je lis me délie.

 

 

Je me demande pourquoi on n'a pas encore une loi qui oblige à faire bouillir les bébés à la naissance, afin qu'ils soient parfaitement stérilisés.

 

Circuler, pour mieux s'ôter.

Toute notre vie, on attend une grande cause pour se lever, et on passe sa vie accroupi, à croupir.

Le lucane aime prendre l'R le soir à sa lucarne.

Ce qu’il y a de bien dans l’état de siège, c’est qu’on prend le temps de s’asseoir.

 

 

Les oiseaux sont les poissons du ciel,

nous en sommes les crabes


Heureux les déjantés, ils quitteront plus facilement la route commune!

 
L’argent n’a pas d’odeur, mais il y contribue.


Un vrai sosie, c’est invraisemblable.

   

Quand je grossis, je m’aigris ; et quand je m’aigris, je grossis.

   

Le temps, c’est de l’urgent.

   

Joindre l’utile au désagréable : se faire renverser par une ambulance.  

 

Le journal du paradis, c’est le Daily Cieux.

   

Yfaut et Yaka sont dans un bateau ; Yfaut tombe à l’eau, Yaka l’repêcher.

 

Chaque matin, s’ils ne sont pas morts, les vieux vont aux nouvelles.

 

Le poète a latitude d’explorer toutes les longitudes.

   

Etre réduit à la portion congrue, c’est fort peu. Moins, c’est incongru.

 

Peut-on dire de quelqu’un
dont la vie dépend des autres pour tout qu’il
est riche ?
La bouche est elle riche ?

Peut-on dire de quelqu’un
qui n’a rien à attendre des autres qu’il est pauvre ?
Les mains sont elles pauvres ?

 

Curieux comme mystique s’oppose à mastoc.

 

On a mis bien des ouvrages majeurs à l’index.

 

Quand le brouillard tombe, on voudrait qu’il se casse.

 

Au matin, la nuit tombe de sommeil.