Heureusement qu'il y a les zinfos pour nous prévenir. Et de braves gens, comme ce toubib anglais - sont pas cons les anglais, y zont inventé la guerre de sentant - qui se penchent avec commisération sur des pauvres trouducs comme moi, qui sans lui en serais resté benoîtement siroter mes kils de jaja en solitaire, inconscient du danger que je courais à m'administrer ainsi un tel poison.
Heureusement, y'a les zinfos et la science. Ouf que.
Comme je suis pas complètement crétin, et que le pinard n'a pas réussi à m'endommager irrémédiablement les neurones, malgré les sulfites, j'ai bien compris le message : faut tout de suite arrêter de picoler. Non, sérieux, c'est grave. Gravissime et même gravissimmime.
C'est benêt, je m'apprétais à débuter une cure de fitou-thérapie.
Comment qu'on va maintenant se péter la hure, alors, entends-je ci et là mes lectrices et teurs affolé(e)s ?
Ben, à la coke, et au crack. Il le dit bien, le docteur (attention, les docteurs, c'est pas des cons, y z ont quand même fait des zétudes). Le crack, y a que ça de vrai.
C'est presque pas dangereux. Pas plus que le lait déshydraté pour les petits zafricains.
Quand je pense que des années durant je me suis empoissé le système avec un quetru qui a même un coût sociétal, t'imagines ? Un sale coût, même.
Bon, c'est pas le tout, faut que j'y aille. Si quelqu'un avait une adresse, pour le crack ?
Mais attention, quèque chose de sérieux. Un petit producteur, si c'était possible.
Bio, je préfère.