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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 19:27
En réponse aux commentaires aussi divers que printaniers, une réponse éclairée, j'espère,
bien que le chanteur qui est aussi l'auteur
 s'emmêle un peu les pinceaux dans ses accords,
ce qu'on n'entendait pas quand il jouait avec
le grand Marcel (chauffe, Marcel!) Azzola.
 
  
 
Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait...la Blanche,
à repasser, avec ses hanches comme des truites,
je vous laisse imaginer les deux choux verts, ce sont peut-être des choux de Bruxelles...
 
En l'occurence, Blanche,
sauvage rouge-queue, si belle soit-elle,
ne vaut pas sûrement pas deux noires.
 
La preuve, Lily et Blanche sont aussi belles,
l'une que l'autre :
 
 
 
Il ne parlait pas que du petit chaperon
noir ou blanc,
Pierre Perret, qui en a connu du monde :
Léo Ferré, les frères Léotard, 
et même les hauts débats de justice
à propos de Léautaud.
 
S'intéressait aussi aux petits loups, la preuve :
 
 

 
  Les petits loups qu'avaient une maison de paille
que les gros cochons ont soufflée
pour les manger tout crus.
Noirs ou blancs,
c'est souvent les cochons qui gagnent, ici.           
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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 13:20
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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 11:08
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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 14:44
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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 09:42
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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 11:37
On n'a pas tous les jours 21 ans, Marie, non ?
 
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21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 08:48
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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 12:24
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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 21:21
 
L'une des plus belles symphonies, l'une des plus âpres jamais écrites par Monsieur Joseph Haydn,
inventeur du genre.
 
Hélas, ce ne fut pas du goût de son mécène qui le contraint à se cantonner à des joliesses galantes ou champêtres.
La preuve, s'il en fallait une de plus, que les imbéciles ont toujours la préséance.
 
Dieu sait ce qu'aurait donné M. Haydn 
libre de ses mouvements. 
 
Contrairement à Beethoveen qui exigeait, en tant que génie créateur de manger à la table des ses patrons, Joseph Haydn mangeait à la table des domestiques.
 
 
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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 17:09
Je vais prendre un peu l'air. Avant que les affreux chemtrails aient tout salopé. Avant que les météores et les bombes ne raient ce qui reste de ciel accessible. Je ne m'en fous pas, non, pas du tout, mais il reste du Ciel en moi et même si tout éclate en morceaux, il restera cela.
 
J'ai avant au moins deux choses à faire : lire la Conférence des Oiseaux, qui est arrivée à midi, et me faire des amis de la nouvelle génération d'oiseaux de mon jardin.
 
Le blog risque d'en pâtir un peu, mais bon.
 
Je vous laisse avec une vidéo que m'a passée F.G. Attachez les ceintures, attention à la mise en plis.
 
L'homme est rude et direct, voire brutal, mais dans le vif, à vif, du sujet  :
 
 
 
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Présentation

  • : Le jardin de Vieux Jade
  • : Arrivages du jour, légumes secs, mauvaises herbes, quelques trucs qui arrachent la gueule. Taupes, censeurs et culs bénits s'abstenir. Si vous cherchez des certitudes, c'est pas l'endroit.
  • Contact

Décidément rétif à l'ordre bestial, j'ai fixé ma résidence ailleurs, d'où j'observe le déroulement des temps infernaux, fumier des plus belles fleurs.  J'ai un jardin secret, où les plantes poussent toutes seules. Servez-vous, si le coeur vous en dit, sans tenir compte de la chronologie, car comme le mot le dit clairement, l'heure est un leurre.

 

Une précision concernant les commentaires : n'ayant pas toujours le temps ni l'énergie de répondre aux commentaires, ceux-ci restent ouverts, sans aucune garantie que j'y réponde. Je me réserve cependant le droit de sabrer les inconvenances, dont je reste seul juge.

 

Ici, je n'est pas un autre.

Recherche

Lave

Après l’explosion

Nul ne l’a sue

Le jour d’après

Coule la lave

Brûlent les cendres

Lave la lave

Mange la louve

Larmes sans sel

De régime

Cuit et recuit 

Frottent les cendres

Récurent

 

Pas encore nu,

Pas tout à fait ?

Restent des choses

Bien accrochées

Des salissures

De vieux fantômes

D’anciennes guerres

 

Qui peut le faire, si ce n'est toi ? 

 

Nettoie

 

Les notes glissent

Comme des larmes

Gouttes de feu

Sur la paroi

 

Qui m’a volé le cœur ?

Qui m’a trempé vivant,

Comme une lame ?

Qui m’a fouetté les yeux,

M’a déchiré le ventre

Me baisant les paupières

Et m’enduisant de baume,

Me prenant par la main,

Pour me conduire

Dehors ?

Les dits de Lao Yu

LE BUT DE LA QUÊTE EST DE N'AVOIR

NI BUT, NI QUÊTE

 

***

 

QUE SAIT-IL DE LA PESANTEUR,

CELUI QUI N'EST JAMAIS TOMBÉ ?

 

***

 

C'EST SOUVENT LORSQU'ELLE S'ENFUIT QU'ON PERÇOIT L'ESSENCE DE LA BEAUTÉ

 

***

 

LA MER A DES MILLIARDS DE VAGUES QUI BATTENT TOUS LES RIVAGES. OU EST LE CENTRE DE LA MER ?

 

***

 

CE QUI EST MORT N'A AUCUN POUVOIR SUR CE QUI EST VIVANT

SEULS LES MORTS CRAIGNENT LES MORTS

 

***

 

QUAND LE NID BRÛLE, LES OISEAUX S’ENVOLENT

 

***

 

C’EST DANS LA CHUTE QUE LES AILES POUSSENT

 

***

 

CE QUI PEUT ÊTRE PERDU EST SANS VALEUR

 

***

 

LA MAISON EST PLUS GRANDE QUE LA PORTE

 

***

 

L’ERREUR EST LA VOIE

 

***

 

LA ROUTE EST DURE A CELUI QUI BOÎTE

 

***

 

LA LUMIERE DE L’ETOILE EST DANS L’ŒIL QUI LA REGARDE

 

***

 

LES PETITS NOURRISSENT LES GRANDS

 

***

 

LES RICHES ONT UNE BOUCHE
MAIS PAS DE MAINS POUR LA REMPLIR

C’EST POURQUOI IL LEUR FAUT
DE NOMBREUX SERVITEURS ;


CEUX QUI ONT DE NOMBREUX SERVITEURS
NE SAURAIENT VIVRE SEULS,

CE SONT DONC DES PAUVRES ;


CELUI QUI PEUT VIVRE SANS SERVITEURS 
EST DONC LE VERITABLE RICHE.

 

***

 

VIVRE C’EST REVENIR SUR SES PAS

 

***

 

LA NUIT LAVE LE LINGE DU SOLEIL

 

***

 

LES RUISSEAUX EMPORTENT LES MONTAGNES

 

***

 

UNE EPINE DANS LE PIED DU GENERAL : L’ARMEE S’ARRÊTE


***
 


UN PORC EN HABITS DE SOIE RESTE UN PORC,
COMME UN DIAMANT DANS LE FUMIER

RESTE UN DIAMANT.

MAIS LA PLACE D’ UN DIAMANT

EST DANS UN ECRIN DE SOIE,

ET CELLE D’UN PORC DANS LE FUMIER.

 

***

 

COMME SEULE L’EAU ETANCHE LA SOIF,
SEULE LA JUSTICE COMBLE LA FAIM DE JUSTICE

 

***

 

DU COLIBRI A L’AIGLE, IL EXISTE DE NOMBREUX OISEAUX

 

***

 

LE DEDANS REGLE LE DEHORS

 

***

 

L’EPONGE BOIT LE VIN RENVERSÉ
ET LA ROSÉE DU MATIN

 

 

***  

 

LORSQU'IL DECOUVRE LE MIEL,

L'OURS OUBLIE LA PIQÛRE DES ABEILLES

 

 

 

 

 

 

 

 

Lisez-Moi Lisez Moi Lisez Moi

Des mots des mots des mots des

Quand à un livre je me livre , ce que je lis me délie.

 

 

Je me demande pourquoi on n'a pas encore une loi qui oblige à faire bouillir les bébés à la naissance, afin qu'ils soient parfaitement stérilisés.

 

Circuler, pour mieux s'ôter.

Toute notre vie, on attend une grande cause pour se lever, et on passe sa vie accroupi, à croupir.

Le lucane aime prendre l'R le soir à sa lucarne.

Ce qu’il y a de bien dans l’état de siège, c’est qu’on prend le temps de s’asseoir.

 

 

Les oiseaux sont les poissons du ciel,

nous en sommes les crabes


Heureux les déjantés, ils quitteront plus facilement la route commune!

 
L’argent n’a pas d’odeur, mais il y contribue.


Un vrai sosie, c’est invraisemblable.

   

Quand je grossis, je m’aigris ; et quand je m’aigris, je grossis.

   

Le temps, c’est de l’urgent.

   

Joindre l’utile au désagréable : se faire renverser par une ambulance.  

 

Le journal du paradis, c’est le Daily Cieux.

   

Yfaut et Yaka sont dans un bateau ; Yfaut tombe à l’eau, Yaka l’repêcher.

 

Chaque matin, s’ils ne sont pas morts, les vieux vont aux nouvelles.

 

Le poète a latitude d’explorer toutes les longitudes.

   

Etre réduit à la portion congrue, c’est fort peu. Moins, c’est incongru.

 

Peut-on dire de quelqu’un
dont la vie dépend des autres pour tout qu’il
est riche ?
La bouche est elle riche ?

Peut-on dire de quelqu’un
qui n’a rien à attendre des autres qu’il est pauvre ?
Les mains sont elles pauvres ?

 

Curieux comme mystique s’oppose à mastoc.

 

On a mis bien des ouvrages majeurs à l’index.

 

Quand le brouillard tombe, on voudrait qu’il se casse.

 

Au matin, la nuit tombe de sommeil.