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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 11:18

20-fevrier-2010-011.jpg

 

Hier dimanche de vacances sous un splendide soleil en pleine campagne, j’ai songé au boulot qui reprendra bientôt avec tous ses aspects déjà désespérants et la nuit est tombée sur mon cœur.

 

Alors je me suis secoué. Non. C’est un leurre. Ce voile de désespoir c’est toi qui l’interpose entre Toi et toi. Quelle que soit la forme que je prends pour interposer des voiles entre Moi et moi, c’est toujours moi qui le fais, personne d’autre.

 

Les flyers de Castaneda, c’est moi. Je suis le vampire de moi-même.

 

L’ombre s’est dissoute. Lorsque rien ne s’interpose, la lumière me traverse, et je n’ai plus d’ombre. Dès que je tire un rideau, c’est fini, je vis dans une pièce obscure où mes démons peuvent jouir de moi, m’éloignant de Moi.

 

Nous devons absolument ne plus avoir d’ombre. Alors nous serons réunis, Moi et moi, dans l’axe, vivants dans le cœur du Soleil.  

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commentaires

N
<br /> Heu encore moi. Léa, je ne sais pas en quoi je te fais peur mais si c'est par rapport à ce que tu donnes comme définition de maso, sache que le fétichisme, très peu pour moi. Comme tout le monde,<br /> je ne recherche pas le malheur, mais je suis pas immunisée. J'essaye juste d'encaisser quand ça arrive.<br /> Quant au besoin de souffrir pour se sentir exister, comme dit Yog, je ne sais pas si cela s'applique à moi. Je ne sais pas. J'avoue que j'ai du mal à imaginer une vie terrestre sans souffrance,<br /> comme un nirvana sur terre. Je ne crois pas qu'il y ait de lumière sans ombre.<br /> J'essaye d'aider les autres à être heureux, du mieux que je peux, malgré mes maladresses. Ce bonheur compte autant que le mien, peut-être à mon détriment. Je ne sais pas si je suis maso, mais je me<br /> sens vivante en tout cas.<br /> En tout cas je ne veux ps que tu t'inquiètes à mon sujet. Je ne sais pas si ces mots te rassureront. Bonne vie à toi!<br /> <br /> <br />
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N
<br /> Houps! Désolée Léa! Ce n'était pas mon intention. Bise<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Maso.<br /> <br /> Qui accepte de souffrir (familier)<br /> <br /> Qui n'éprouve un plaisir sexuel qu'en étant maltraité physiquement ou moralement.<br /> <br /> <br /> Certains choisissent de souffrir volontairement alors que d'autres souffrent et ne le désire pas.C'est ou que cela coince?<br /> <br /> Vous savez quoi?Vous commencer a me faire "peur".Peur...pas pour moi,mais pous vous!<br /> <br /> <br /> Ciao,Léa.<br /> <br /> <br />
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V
<br /> <br /> L'histoire bien connue du maso qui demande au sadique : fais moi mal, et l'autre répond: non.<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> La suite, Yog: 3 chansons de Paris Combo<br /> <br /> "Living room":<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=8cULUIirBQA<br /> <br /> "Pas à pas" :<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=ga3X2Ekf4Wo&feature=related<br /> <br /> <br /> " Attraction":<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=-CJrR7nJfss&feature=related<br /> <br /> Living-room<br /> by Paris Combo<br /> Nous tous nés d'amour dans ce vieux pays<br /> Où seuls de vieux, de très vieux singes sont assis<br /> Aux commandes de nos libertés<br /> Aux manettes de nos intégrités<br /> <br /> Alors, tapons-nous sur le nez<br /> Ça les fait toujours rigoler<br /> Allez, tapons-nous, entre nous<br /> Ça leur fera toujours de gros sous<br /> Quand ils nous vendront des canifs<br /> Et des idées malsaines<br /> Pour que nos petites vies s'enfouissent<br /> Dans la violence et la haine<br /> Alors quoi, on va coucher dehors<br /> Sous les ponts, sous des ponts d'or<br /> Que d'autres auront construits pour aller de leur cuisine<br /> A leur living...<br /> <br /> Leur living-room<br /> C'est pas du flan, c'est pas du vent<br /> C'est le living-room des vieux singes savants<br /> Living... Living... Living...room<br /> <br /> Nous sommes tous nés, mon ami<br /> Nous sommes tous vivants, c'est inscrit<br /> Dans notre œil, tu vois, au fond ça luit<br /> D'une envie de vivre, d'une envie<br /> <br /> De parcourir le monde<br /> Cette bonne terre si gironde<br /> Mais non, mais non, voilà qu'on nous gronde !<br /> Cas sans laisser-passer<br /> Faut pas se laisser aller<br /> <br /> A rêver d'une autre vie, mon ami,<br /> Non, faut pas rêver<br /> Car pour rêver, faut des «laisser-passer»<br /> Du papier, pour passer sa vie<br /> <br /> De l'autre côté du pont, des ponts d'or, dehors<br /> Y'en a des tonnes, c'est pas qu'on les ignore<br /> Car on les voit souvent passer de leur cuisine<br /> A leur living...<br /> <br /> {au Refrain}<br /> <br /> Voilà comment, quand on y pense<br /> Nous sommes tous devenus des éléphants<br /> Des gnous, des girafes, des orangs-outangs<br /> Dans nos réserves sous surveillance<br /> Et qu'on n'aille pas s'égarer<br /> En troupeau ou bien tout seul, isolé<br /> Dans les réserves d'à côté<br /> On est sûr de tomber sur un os<br /> <br /> Un ostéopathe de première<br /> <br /> Qui vous démembrera, c'est son affaire !<br /> De vous faire passer l'envie<br /> Des voyages interdits<br /> <br /> Interdits dans nos vieux pays<br /> Où seuls de vieux, de très vieux singes sont assis<br /> Dans leur cuisine, ils gambergent<br /> Pour améliorer leur living...<br /> <br /> Pas à pas<br /> by Paris Combo<br /> Album: Living room<br /> Depuis longtemps, je n'sais pas<br /> Où me mène le vent<br /> Voilà pourquoi je n'suis pas<br /> Ceux qui marchent devant<br /> C'est le chemin le plus beau<br /> Qui en a tenté plus d'un<br /> Le mien se fait au sabot<br /> Que je pose tous les matins<br /> Au gré des embruns<br /> <br /> Ce monsieur fait ce qu'il veut<br /> Madame sait pas si elle doit<br /> Un enfant qui ferait mieux<br /> de grandir comme il le croit<br /> Un cheminot sur des rails<br /> Qui regarde passer les vaches<br /> Une perle dans un serail<br /> Qui ne veut plus qu'on l'attache<br /> Un antiquaire amoureux<br /> Qui soudain se trouve trop vieux<br /> Y a déjà du mieux...<br /> <br /> {Refrain:}<br /> On verra,<br /> On verra si ça n'vaut pas<br /> Un coup d'oeil, là-bas<br /> Là-bas, juste un peu plus bas<br /> On verra, on verra<br /> On voit bien que ça n'va pas<br /> Non, non, les pas cadencés<br /> Mais c'est pas compliqué<br /> C'est pas comme ça qu'on va danser<br /> <br /> Depuis longtemps, je n'sais pas<br /> Où me mène le vent<br /> Voilà pourquoi je n'suis pas<br /> Ceux qui marchent devant<br /> Certains semblent être poussés<br /> Par de grands vents d'idéaux<br /> D'autres sont restés à quai<br /> Car ces pauvres matelots<br /> N'ont pas l'vent dans l'dos<br /> <br /> Ce monsieur fait ce qu'il peut<br /> Madame est sûre de son droit<br /> Un enfant qui fait des envieux<br /> Dès qu'il pose ses premiers pas<br /> Un fakir, un prothésiste<br /> Qui se trompent et qui insistent<br /> Un éléphant blanc de blanc<br /> Qui, comme il peut, se défend<br /> Pour ses défenses aériennes<br /> Ces deux, qu'il considère siennes<br /> Faudrait lui laisser...<br /> <br /> {au Refrain}<br /> <br /> Depuis longtemps, je n'sais pas<br /> Où me mène le vent<br /> Voilà pourquoi je n'suis pas<br /> Ceux qui marchent devant<br /> C'est le chemin le plus beau<br /> Qui en a tenté plus d'un<br /> Ce fameux sentier battu<br /> Qu'on a battu comme des chiens<br /> Mais pour tous, c'est pas à pas<br /> A quatre pattes dans les broussailles<br /> Qu'on fera des trouvailles...<br /> <br /> Paroles Paris Combo Attraction<br /> <br /> Si ce n'est pas le vent du changement<br /> <br /> Qui vient souffler de l'air à mes ailes<br /> <br /> Ce n'est pas un courant d'air que j'attends<br /> <br /> Pour m'envoler jusqu'au ciel<br /> <br /> J'ai besoin d'un petit vent bien pressant<br /> <br /> Pour me donner de l'altitude<br /> <br /> Et savourer tout en planant<br /> <br /> Cette idée de plénitude.<br /> <br /> Mais voilà, ça n's'invente pas<br /> <br /> Ce calme plat, si plat<br /> <br /> Sans un nuage, sans un coeur qui bat...<br /> <br /> Si ce n'est pas le vent du plaisir<br /> <br /> Qui vient combattre mon apesanteur<br /> <br /> Je ne laisserai pas un mauvais zéphyr<br /> <br /> Me pousser droit vers un leurre.<br /> <br /> {Refrain:}<br /> <br /> Car si l'amour n'est pas dans l'air<br /> <br /> Je préfère rester sur terre<br /> <br /> Et si j'en crois mes amies les fourmis<br /> <br /> Dans leur lointaine idée des airs,<br /> <br /> Me prédire une vie de paradis<br /> <br /> De labeur et de carrière<br /> <br /> Plus jamais seule, entourée de confrères<br /> <br /> Et de bien amicales consoeurs,<br /> <br /> Je saurais bien trouver la manière<br /> <br /> D'aborder le bonheur.<br /> <br /> Mais voilà, ça n's'invente pas<br /> <br /> Ce calme plat, si plat<br /> <br /> Sans un nuage, sans un coeur qui bat...<br /> <br /> Si ce n'est pas le vent du plaisir<br /> <br /> Qui vient combattre mon apesanteur<br /> <br /> Je ne laisserai pas un mauvais zéphyr<br /> <br /> Me pousser droit vers un leurre.<br /> <br /> {Refrain:}<br /> <br /> Car si l'amour n'est pas sur terre<br /> <br /> Je préfère reprendre l'air<br /> <br /> Si ce n'est pas le vent du changement<br /> <br /> Qui vient souffler de l'air à mes ailes<br /> <br /> Ce n'est pas un courant d'air que j'attends<br /> <br /> Pour m'envoler jusqu'au ciel<br /> <br /> Je recherche vainement l'Attraction<br /> <br /> Terrestre ou s'il le faut lunaire<br /> <br /> Qui me fera prendre position<br /> <br /> Pour l'être extra, l'ordinaire...<br /> <br /> {Refrain:}<br /> <br /> Si l'amour n'est pas dans l'air<br /> <br /> Je préfère rester sur terre<br /> <br /> Mais si l'amour n'est pas sur terre<br /> <br /> Je préfère reprendre l'air.<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Ah, je ne connaissais pas, Paris Combo. Pas mal.<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> Est-ce que ce blog est interdit ou déconseillé aux maso?<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Seule la sottise est déconseillée. Pas la sottise ponctuelle (ça m'arrive aussi), la sottise de ceux qui savent tout et n'ont pas de respect.<br /> <br /> <br /> <br />

Présentation

  • : Le jardin de Vieux Jade
  • : Arrivages du jour, légumes secs, mauvaises herbes, quelques trucs qui arrachent la gueule. Taupes, censeurs et culs bénits s'abstenir. Si vous cherchez des certitudes, c'est pas l'endroit.
  • Contact

Décidément rétif à l'ordre bestial, j'ai fixé ma résidence ailleurs, d'où j'observe le déroulement des temps infernaux, fumier des plus belles fleurs.  J'ai un jardin secret, où les plantes poussent toutes seules. Servez-vous, si le coeur vous en dit, sans tenir compte de la chronologie, car comme le mot le dit clairement, l'heure est un leurre.

 

Une précision concernant les commentaires : n'ayant pas toujours le temps ni l'énergie de répondre aux commentaires, ceux-ci restent ouverts, sans aucune garantie que j'y réponde. Je me réserve cependant le droit de sabrer les inconvenances, dont je reste seul juge.

 

Ici, je n'est pas un autre.

Recherche

Lave

Après l’explosion

Nul ne l’a sue

Le jour d’après

Coule la lave

Brûlent les cendres

Lave la lave

Mange la louve

Larmes sans sel

De régime

Cuit et recuit 

Frottent les cendres

Récurent

 

Pas encore nu,

Pas tout à fait ?

Restent des choses

Bien accrochées

Des salissures

De vieux fantômes

D’anciennes guerres

 

Qui peut le faire, si ce n'est toi ? 

 

Nettoie

 

Les notes glissent

Comme des larmes

Gouttes de feu

Sur la paroi

 

Qui m’a volé le cœur ?

Qui m’a trempé vivant,

Comme une lame ?

Qui m’a fouetté les yeux,

M’a déchiré le ventre

Me baisant les paupières

Et m’enduisant de baume,

Me prenant par la main,

Pour me conduire

Dehors ?

Les dits de Lao Yu

LE BUT DE LA QUÊTE EST DE N'AVOIR

NI BUT, NI QUÊTE

 

***

 

QUE SAIT-IL DE LA PESANTEUR,

CELUI QUI N'EST JAMAIS TOMBÉ ?

 

***

 

C'EST SOUVENT LORSQU'ELLE S'ENFUIT QU'ON PERÇOIT L'ESSENCE DE LA BEAUTÉ

 

***

 

LA MER A DES MILLIARDS DE VAGUES QUI BATTENT TOUS LES RIVAGES. OU EST LE CENTRE DE LA MER ?

 

***

 

CE QUI EST MORT N'A AUCUN POUVOIR SUR CE QUI EST VIVANT

SEULS LES MORTS CRAIGNENT LES MORTS

 

***

 

QUAND LE NID BRÛLE, LES OISEAUX S’ENVOLENT

 

***

 

C’EST DANS LA CHUTE QUE LES AILES POUSSENT

 

***

 

CE QUI PEUT ÊTRE PERDU EST SANS VALEUR

 

***

 

LA MAISON EST PLUS GRANDE QUE LA PORTE

 

***

 

L’ERREUR EST LA VOIE

 

***

 

LA ROUTE EST DURE A CELUI QUI BOÎTE

 

***

 

LA LUMIERE DE L’ETOILE EST DANS L’ŒIL QUI LA REGARDE

 

***

 

LES PETITS NOURRISSENT LES GRANDS

 

***

 

LES RICHES ONT UNE BOUCHE
MAIS PAS DE MAINS POUR LA REMPLIR

C’EST POURQUOI IL LEUR FAUT
DE NOMBREUX SERVITEURS ;


CEUX QUI ONT DE NOMBREUX SERVITEURS
NE SAURAIENT VIVRE SEULS,

CE SONT DONC DES PAUVRES ;


CELUI QUI PEUT VIVRE SANS SERVITEURS 
EST DONC LE VERITABLE RICHE.

 

***

 

VIVRE C’EST REVENIR SUR SES PAS

 

***

 

LA NUIT LAVE LE LINGE DU SOLEIL

 

***

 

LES RUISSEAUX EMPORTENT LES MONTAGNES

 

***

 

UNE EPINE DANS LE PIED DU GENERAL : L’ARMEE S’ARRÊTE


***
 


UN PORC EN HABITS DE SOIE RESTE UN PORC,
COMME UN DIAMANT DANS LE FUMIER

RESTE UN DIAMANT.

MAIS LA PLACE D’ UN DIAMANT

EST DANS UN ECRIN DE SOIE,

ET CELLE D’UN PORC DANS LE FUMIER.

 

***

 

COMME SEULE L’EAU ETANCHE LA SOIF,
SEULE LA JUSTICE COMBLE LA FAIM DE JUSTICE

 

***

 

DU COLIBRI A L’AIGLE, IL EXISTE DE NOMBREUX OISEAUX

 

***

 

LE DEDANS REGLE LE DEHORS

 

***

 

L’EPONGE BOIT LE VIN RENVERSÉ
ET LA ROSÉE DU MATIN

 

 

***  

 

LORSQU'IL DECOUVRE LE MIEL,

L'OURS OUBLIE LA PIQÛRE DES ABEILLES

 

 

 

 

 

 

 

 

Lisez-Moi Lisez Moi Lisez Moi

Des mots des mots des mots des

Quand à un livre je me livre , ce que je lis me délie.

 

 

Je me demande pourquoi on n'a pas encore une loi qui oblige à faire bouillir les bébés à la naissance, afin qu'ils soient parfaitement stérilisés.

 

Circuler, pour mieux s'ôter.

Toute notre vie, on attend une grande cause pour se lever, et on passe sa vie accroupi, à croupir.

Le lucane aime prendre l'R le soir à sa lucarne.

Ce qu’il y a de bien dans l’état de siège, c’est qu’on prend le temps de s’asseoir.

 

 

Les oiseaux sont les poissons du ciel,

nous en sommes les crabes


Heureux les déjantés, ils quitteront plus facilement la route commune!

 
L’argent n’a pas d’odeur, mais il y contribue.


Un vrai sosie, c’est invraisemblable.

   

Quand je grossis, je m’aigris ; et quand je m’aigris, je grossis.

   

Le temps, c’est de l’urgent.

   

Joindre l’utile au désagréable : se faire renverser par une ambulance.  

 

Le journal du paradis, c’est le Daily Cieux.

   

Yfaut et Yaka sont dans un bateau ; Yfaut tombe à l’eau, Yaka l’repêcher.

 

Chaque matin, s’ils ne sont pas morts, les vieux vont aux nouvelles.

 

Le poète a latitude d’explorer toutes les longitudes.

   

Etre réduit à la portion congrue, c’est fort peu. Moins, c’est incongru.

 

Peut-on dire de quelqu’un
dont la vie dépend des autres pour tout qu’il
est riche ?
La bouche est elle riche ?

Peut-on dire de quelqu’un
qui n’a rien à attendre des autres qu’il est pauvre ?
Les mains sont elles pauvres ?

 

Curieux comme mystique s’oppose à mastoc.

 

On a mis bien des ouvrages majeurs à l’index.

 

Quand le brouillard tombe, on voudrait qu’il se casse.

 

Au matin, la nuit tombe de sommeil.