Le faux assassinat de Ben Laden est tellement grotesque qu'ici ou là, beaucoup se posent une inévitable question : pourquoi tant d'amateurisme ?
Pourquoi donner tant de grain à moudre, tant de verges pour se faire battre ?
Des réponses possibles :
1) ils sont de plus en plus nuls ; le QI moyen des sbires du NOM épouse la courbe de l'acculturation ambiante.
2) ça c'est fait sur un coup de téléphone dans une impréparation complète, pour sauver le soldat Obama.
3) ils (c'est qui "Ils ?") sont tellement sûrs d'eux, arrogants, suffisants qu'ils n'en ont plus rien à foutre des apparences ; pourquoi se gêner, puisqu'on a toute cette vermine sous la botte ?
4) c'est un test pour repérer et sérier la qualité des opposants ; là, on est au niveau 1. Level One. On trie les plus cons, ceux qui applaudissent et commandent et boivent douze packs de bière pour fêter la mort de cette ord'hips de Ben L'ad'hips. Ceux-là une fois tamisés et remis devant la télé, on regarde ce qui reste.
Tout ce qui reste est répertorié : terroriste niveau 1.
Après, on va grimper dans la sélection. Tamis 2. Etc, jusqu'à filtrer le gratin. Les camps de la FEMA et d'ailleurs vont être des endroits très sélects ; "les derniers salons où l'on cause".
Pour moi, on est dans un modèle 3 et 4, ce qui n'empêche pas 1 et 2.
Une lecture indispensable : "Un bonheur insoutenable", d'Ira Levin, pour comprendre que la Bête aime et soutient l'intelligence et la rébellion.
"Jésus dit que dans les derniers temps il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus".
Et peut-être qu'en période de dévoilement, tout ce qui est faux saute aux yeux de ceux qui ont "des yeux pour voir, et des oreilles pour entendre" ?