Merci à l'ange qui a posé son doigt sur l'intérieur de mon pied droit ce samedi matin-là. C'est balèze un ange. Pas besoin d'appuyer, ça fourmillait déjà, ça s'est mis à me lancer à 5 heures du mat', l'intrusion de milliers d'aiguilles que je commençai à accompagner de mes mélopées jusqu'à l'acmé, puis, d'un coup, respire, c'est passé. Oufff mais mais aïe, ça repart wooouuu puis stop encore, et comme ça crescendo jusqu'à ce que Mme finisse par sortir du sommeil à son tour, croyant et redoutant une crise de calculs, (car trois fois déjà elle m'a accompagné tôt le matin aux urgences, zauriez pas de la morphine ?) ,tant je dansais et chantais cycliquement pour évacuer cette torture.
Pour faire bref : très probablement un (léger) excédent d'acide urique, dû, allez je me donne le choix :
- un excès de pain d'épices
- trop de boldo
- un tout petit petit peu trop de vin blanc, de bière et de champagne
- une overdose de sport
C'est la vie, mon chéwi. Là-haut (façon de dire), il y a quelqu'un (un jaloux désincarné, sûrement, ces gars là n'ont pas le moindre scrupule à vous empêcher de jouir en paix) que ça devait énerver que je me pochetronne au Chardonnay (alors, dieu, pourquoi l'avoir inventé, hein ? un peu de logique, sTp, t'avais qu'à tout faire dégueulasse, on n'aurait jamais fait la moindre connerie).
Enfin, merci quand même à ce saligaud d'ange qui par ce délicat procédé, a réussi à préserver mon tire bouchons d'une usure prématurée. Merci pour lui (le tire-bouchons).